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Le zéro rejet liquide est un véritable objectif recherché dans tous nos projets. Ce type d’installation permet à nos clients de réduire leur impact environnemental et de s’affranchir des contraintes réglementaires actuelles et futures. A ce titre FAR Water a conçu, construit et mis en service une installation qui a été récompensée par un Trophée de l’Eau décerné par l’Agence de l’Eau Rhin-Meuse en 2017.

Regardez la vidéo qui résume ce succès industriel qui a permis à notre client de supprimer son installation physico-chimique et l’intégralité de ses rejets liquides.

Dans un contexte hydrique sensible qui empêchait l’accroissement de la production, la mise en place de cette technologie à également permis une réutilisation totale de l’eau traitée.

Ce projet a apporté une réelle valeur ajoutée permettant un gain de compétitivité pour l’entreprise.

La séparation eaux / hydrocarbures est l’application historiquement développée par FAR Water. Cette technologie est utilisée dans deux nombreux secteurs de l’industrie :

• Marine (séparateurs d’eaux cales homologués 15ppm selon l’IMO MARPOL 107(49)
• Industrie Mécanique et Automobile : Huiles de coupe, huiles de formage, effluents de lavage et rinçage…
• Traitement de surface

Le traitement physico-chimique est le processus le plus courant dans l’élimination des métaux. L’emploi de coagulants, floculants, et autres réactifs génère un volume de déchet important, et empêche la réutilisation de l’eau traitée.  Une station physico-chimique requiert l’intervention à temps plein de personnel qualifié, ce qui rend son exploitation très coûteuse et exigeante. Par ailleurs, cette technologie montre ses limites lorsque les seuils de rejets à atteindre sont faibles et que le recyclage de l’eau est envisagé ( présence de coagulants).

FAR Water a développé un procédé de remplacement intégral des stations physico-chimiques, totalement automatisé qui permet un ré-emploi de l’intégralité de l’eau traitée. Les taux d’abattement obtenus sont nettement plus importants que les traitements conventionnels. Le volume de déchet généré est fortement réduit et dans le cas d’un recyclage intégral des eaux, le Client n’est plus soumis aux contraintes réglementaires liées aux rejets, et donc également à l’évolution de ces normes.

On appelle « DCO dure » la DCO qui résiste à un traitement donné. La DCO dure est celle qui résiste à tout traitement biologique en phase aqueuse.

On peut aussi dire que la DCO dure est celle qui subsiste quand il ne reste plus de DBO₅ dans l’effluent.

La coloration est souvent un cas particulier de DCO dure, en ce sens qu’elle comporte une composante visuelle qui la rend aisément détectable dans l’environnement. A cause de cela, elle est l’objet de nombreuses plaintes émises par les riverains et les pêcheurs.

Dans le cas d’une unité mettant en oeuvre des encre de flexographie, nous avons réussi à réduire sur 2 étages la DCO de 180.000mg/l à 800 mg/l en réduisant significativement la couleur présente dans les effluents.

La réglementation RSDE (Réduction des Substances Dangereuses dans l’Eau) impose désormais aux industriels de maîtriser leurs rejets également en terme de micropolluants.

Grâce à ses installations de traitement membranaire, FAR Water a réussi à mettre en oeuvre des solutions performantes et innovantes pour traiter ce type de contaminants complexes. Un projet réalisé récemment dans l’industrie textile permet de démontrer les performances.

Voici quelques exemples de micropolluants retenus par nos installations :

• acide aminométhylphosphonique (AMPA) 
• glyphosate
• Di(2-ethylhexyl)phtalate (DEHP)